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AUTRES COMMUNAUTES DE PAROISSES

 

Saint Pierre et Saint Paul

Curé : Jean GANTZER

 

Paroisses de St Maximin, St Pierre, St Urbain et Beauregard

Secrétariat : Presbytère Saint Maximin

3 place de l’Eglise, Thionville -tél 03 82 54 36 06

Email : paroisse.saintmaximin@orange.fr

Blog : http://stpierrestpaul.over-blog.com

 

Communauté du Bon Pasteur

Curé : Jean Pierre KOVACS

Paroisses de Veymerange, Volkrange, et Terville

Secrétariat : Presbytère de Veymerange

16 rue Saint Martin – tél 09 52 71 15 32 ou 03 82 50 40 06

Email : bonpasteurcourriel@free.fr

Blog : http://bonpasteur.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 18:09
Samedi 19 avril 2008

ROME, Vendredi 18 avril 2008 (ZENIT.org) - Nous publions ci-dessous le texte intégral du discours que le pape Benoît XVI a prononcé ce vendredi aux représentants des Nations, dans la salle de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York.

Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs,

En m'adressant à cette Assemblée, j'aimerais avant tout vous exprimer, Monsieur le Président, ma vive reconnaissance pour vos aimables paroles. Ma gratitude va aussi au Secrétaire général, Monsieur Ban Ki-moon, qui m'a invité à venir visiter le Siège central de l'Organisation, et pour l'accueil qu'il m'a réservé. Je salue les Ambassadeurs et les diplomates des Pays membres et toutes les personnes présentes. À travers vous, je salue les peuples que vous représentez ici. Ils attendent de cette institution qu'elle mette en œuvre son inspiration fondatrice, à savoir constituer un « centre pour la coordination de l'activité des Nations unies en vue de parvenir à la réalisation des fins communes » de paix et de développement (cf. Charte des Nations unies, art. 1.2-1.4). Comme le Pape Jean-Paul II l'exprimait en 1995, l'Organisation devrait être un « centre moral, où toutes les nations du monde se sentent chez elles, développant la conscience commune d'être, pour ainsi dire, une famille de nations » (Message à l'Assemblée générale des Nations unies pour le 50e anniversaire de la fondation, New York, 5 octobre 1995).

À travers les Nations unies, les États ont établi des objectifs universels qui, même s'ils ne coïncident pas avec la totalité du bien commun de la famille humaine, n'en représentent pas moins une part fondamentale. Les principes fondateurs de l'Organisation - le désir de paix, le sens de la justice, le respect de la dignité de la personne, la coopération et l'assistance humanitaires - sont l'expression des justes aspirations de l'esprit humain et constituent les idéaux qui devraient sous-tendre les relations internationales. Comme mes prédécesseurs Paul VI et Jean-Paul II l'ont affirmé depuis cette même tribune, tout cela fait partie de réalités que l'Église catholique et le Saint-Siège considèrent avec attention et intérêt, voyant dans votre activité un exemple de la manière dont les problèmes et les conflits qui concernent la communauté mondiale peuvent bénéficier d'une régulation commune. Les Nations unies concrétisent l'aspiration à « un degré supérieur d'organisation à l'échelle internationale » (Jean-Paul II, Encycl. Sollicitudo rei socialis, n. 43), qui doit être inspiré et guidé par le principe de subsidiarité et donc être capable de répondre aux exigences de la famille humaine, grâce à des règles internationales efficaces et à la mise en place de structures aptes à assurer le déroulement harmonieux de la vie quotidienne des peuples. Cela est d'autant plus nécessaire dans le contexte actuel où l'on fait l'expérience du paradoxe évident d'un consensus multilatéral qui continue à être en crise parce qu'il est encore subordonné aux décisions d'un petit nombre, alors que les problèmes du monde exigent, de la part de la communauté internationale, des interventions sous forme d'actions communes.

En effet, les questions de sécurité, les objectifs de développement, la réduction des inégalités au niveau local et mondial, la protection de l'environnement, des ressources et du climat, requièrent que tous les responsables de la vie internationale agissent de concert et soient prêts à travailler en toute bonne foi, dans le respect du droit, pour promouvoir la solidarité dans les zones les plus fragiles de la planète. Je pense en particulier à certains pays d'Afrique et d'autres continents qui restent encore en marge d'un authentique développement intégral, et qui risquent ainsi de ne faire l'expérience que des effets négatifs de la mondialisation. Dans le contexte des relations internationales, il faut reconnaître le rôle primordial des règles et des structures qui, par nature, sont ordonnées à la promotion du bien commun et donc à la sauvegarde de la liberté humaine. Ces régulations ne limitent pas la liberté. Au contraire, elles la promeuvent quand elles interdisent des comportements et des actions qui vont à l'encontre du bien commun, qui entravent son exercice effectif et qui compromettent donc la dignité de toute personne humaine. Au nom de la liberté, il doit y avoir une corrélation entre droits et devoirs, en fonction desquels toute personne est appelée à prendre ses responsabilités dans les choix qu'elle opère, en tenant compte des relations tissées avec les autres. Nous pensons ici à la manière dont les résultats de la recherche scientifique et des avancées technologiques ont parfois été utilisés. Tout en reconnaissant les immenses bénéfices que l'humanité peut en tirer, certaines de leurs applications représentent une violation évidente de l'ordre de la création, au point non seulement d'être en contradiction avec le caractère sacré de la vie, mais d'arriver à priver la personne humaine et la famille de leur identité naturelle. De la même manière, l'action internationale visant à préserver l'environnement et à protéger les différentes formes de vie sur la terre doit non seulement garantir un usage rationnel de la technologie et de la science, mais doit aussi redécouvrir l'authentique image de la création. Il ne s'agira jamais de devoir choisir entre science et éthique, mais bien plutôt d'adopter une méthode scientifique qui soit véritablement respectueuse des impératifs éthiques.
La reconnaissance de l'unité de la famille humaine et l'attention portée à la dignité innée de toute femme et de tout homme reçoivent aujourd'hui un nouvel élan dans le principe de la responsabilité de protéger. Il n'a été défini que récemment, mais il était déjà implicitement présent dès les origines des Nations unies et, actuellement, il caractérise toujours davantage son activité. Tout État a le devoir primordial de protéger sa population contre les violations graves et répétées des droits de l'homme, de même que des conséquences de crises humanitaires liées à des causes naturelles ou provoquées par l'action de l'homme. S'il arrive que les États ne soient pas en mesure d'assurer une telle protection, il revient à la communauté internationale d'intervenir avec les moyens juridiques prévus par la Charte des Nations unies et par d'autres instruments internationaux. L'action de la communauté internationale et de ses institutions, dans la mesure où elle est respectueuse des principes qui fondent l'ordre international, ne devrait jamais être interprétée comme une coercition injustifiée ou comme une limitation de la souveraineté. À l'inverse, c'est l'indifférence ou la non-intervention qui causent de réels dommages. Il faut réaliser une étude approfondie des modalités pour prévenir et gérer les conflits, en utilisant tous les moyens dont dispose l'action diplomatique et en accordant attention et soutien même au plus léger signe de dialogue et de volonté de réconciliation.

Le principe de la « responsabilité de protéger » était considéré par l'antique ius gentium comme le fondement de toute action entreprise par l'autorité envers ceux qui sont gouvernés par elle : à l'époque où le concept d'État national souverain commençait à se développer, le religieux dominicain Francisco De Vitoria, considéré à juste titre comme un précurseur de l'idée des Nations unies, décrivait cette responsabilité comme un aspect de la raison naturelle partagé par toutes les nations, et le fruit d'un droit international dont la tâche était de réguler les relations entre les peuples. Aujourd'hui comme alors, un tel principe doit faire apparaître l'idée de personne comme image du Créateur, ainsi que le désir d'absolu et l'essence de la liberté. Le fondement des Nations unies, nous le savons bien, a coïncidé avec les profonds bouleversements dont a souffert l'humanité lorsque la référence au sens de la transcendance et à la raison naturelle a été abandonnée et que par conséquent la liberté et la dignité humaine furent massivement violées. Dans de telles circonstances, cela menace les fondements objectifs des valeurs qui inspirent et régulent l'ordre international et cela mine les principes intangibles et coercitifs formulés et consolidés par les Nations unies. Face à des défis nouveaux répétés, c'est une erreur de se retrancher derrière une approche pragmatique, limitée à mettre en place des « bases communes », dont le contenu est minimal et dont l'efficacité est faible.

La référence à la dignité humaine, fondement et fin de la responsabilité de protéger, nous introduit dans la note spécifique de cette année, qui marque le soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des Droits de l'homme. Ce document était le fruit d'une convergence de différentes traditions culturelles et religieuses, toutes motivées par le désir commun de mettre la personne humaine au centre des institutions, des lois et de l'action des sociétés, et de la considérer comme essentielle pour le monde de la culture, de la religion et de la science. Les droits de l'homme sont toujours plus présentés comme le langage commun et le substrat éthique des relations internationales. Tout comme leur universalité, leur indivisibilité et leur interdépendance sont autant de garanties de protection de la dignité humaine. Mais il est évident que les droits reconnus et exposés dans la Déclaration s'appliquent à tout homme, cela en vertu de l'origine commune des personnes, qui demeure le point central du dessein créateur de Dieu pour le monde et pour l'histoire. Ces droits trouvent leur fondement dans la loi naturelle inscrite au cœur de l'homme et présente dans les diverses cultures et civilisations. Détacher les droits humains de ce contexte signifierait restreindre leur portée et céder à une conception relativiste, pour laquelle le sens et l'interprétation des droits pourraient varier et leur universalité pourrait être niée au nom des différentes conceptions culturelles, politiques, sociales et même religieuses. La grande variété des points de vue ne peut pas être un motif pour oublier que ce ne sont pas les droits seulement qui sont universels, mais également la personne humaine, sujet de ces droits.

À la fois nationale et internationale, la vie de la communauté met clairement en évidence que le respect pour les droits et pour les garanties qui leur sont attachées sont la mesure du bien commun, utilisée pour apprécier le rapport entre justice et injustice, développement et pauvreté, sécurité et conflits. La promotion des droits de l'homme demeure la stratégie la plus efficace quand il s'agit de combler les inégalités entre des pays et des groupes sociaux, quand il s'agit aussi de renforcer la sécurité. En effet les victimes de la misère et du désespoir dont la dignité humaine est impunément violée, deviennent des proies faciles pour les tenants du recours à la violence et deviennent à leur tour des destructeurs de paix. Pourtant le bien commun que les droits de l'homme aident à réaliser ne peut pas être atteint en se contentant d'appliquer des procédures correctes ni même en pondérant des droits en opposition. Le mérite de la Déclaration universelle a été d'ouvrir à des cultures, à des expressions juridiques et à des modèles institutionnels divers la possibilité de converger autour d'un noyau fondamental de valeurs et donc de droits : mais c'est un effort qui, de nos jours, doit être encore plus soutenu face à des instances qui cherchent à réinterpréter les fondements de la Déclaration et à compromettre son unité interne pour favoriser le passage de la protection de la dignité humaine à la satisfaction de simples intérêts, souvent particuliers. La Déclaration a été adoptée comme « un idéal commun qui est à atteindre » (Préambule) et elle ne peut pas être utilisée de manière partielle, en suivant des tendances ou en opérant des choix sélectifs qui risquent de contredire l'unité de la personne humaine et donc l'indivisibilité de ses droits.

Nous constatons souvent dans les faits une prédominance de la légalité par rapport à la justice quand se manifeste une attention à la revendication des droits qui va jusqu'à les faire apparaître comme le résultat exclusif de dispositions législatives ou de décisions normatives prises par les diverses instances des autorités en charge. Quand ils sont présentés sous une forme de pure légalité, les droits risquent de devenir des propositions de faible portée, séparés de la dimension éthique et rationnelle qui constitue leur fondement et leur fin. La Déclaration universelle a en effet réaffirmé avec force la conviction que le respect des droits de l'homme s'enracine avant tout sur une justice immuable, sur laquelle la force contraignante des proclamations internationales est aussi fondée. C'est un aspect qui est souvent négligé quand on prétend priver les droits de leur vraie fonction au nom d'une perspective utilitariste étroite. Parce que les droits et les devoirs qui leur sont liés découlent naturellement de l'interaction entre les hommes, il est facile d'oublier qu'ils sont le fruit du sens commun de la justice, fondé avant tout sur la solidarité entre les membres du corps social et donc valable dans tous les temps et pour tous les peuples. C'était une intuition exprimée, dès le Ve siècle après Jésus Christ, par l'un des maîtres de notre héritage intellectuel, Augustin d'Hippone. Il enseignait que « le précepte : ‘Ce que tu ne veux pas qu'on te fasse, ne le fais pas à autrui' ne peut en aucune façon varier en fonction de la diversité des peuples » (De Doctrina Christiana III, 14). Les droits de l'homme exigent alors d'être respectés parce qu'ils sont l'expression de la justice et non simplement en raison de la force coercitive liée à la volonté des législateurs.

Mesdames et Messieurs,

À mesure que l'on avance dans l'histoire, de nouvelles situations surgissent et l'on cherche à y attacher de nouveaux droits. Le discernement, c'est-à-dire la capacité de distinguer le bien du mal, est encore plus nécessaire quand sont en jeu des exigences qui appartiennent à la vie et à l'action de personnes, de communautés et de peuples. Quand on affronte le thème des droits, qui mettent en jeu des situations importantes et des réalités profondes, le discernement est une vertu à la fois indispensable et féconde.

Le discernement nous amène alors à souligner que laisser aux seuls États, avec leurs lois et leurs institutions, la responsabilité ultime de répondre aux aspirations des personnes, des communautés et de peuples tout entier peut parfois entraîner des conséquences rendant impossible un ordre social respectueux de la dignité de la personne et de ses droits. Par ailleurs, une vision de la vie solidement ancrée dans la dimension religieuse peut permettre d'y parvenir, car la reconnaissance de la valeur transcendante de tout homme et de toute femme favorise la conversion du cœur, ce qui conduit alors à un engagement contre la violence, le terrorisme ou la guerre, et à la promotion de la justice et de la paix. Cela favorise aussi un milieu propice au dialogue interreligieux que les Nations unies sont appelées à soutenir comme elles soutiennent le dialogue dans d'autres domaines de l'activité humaine. Le dialogue doit être reconnu comme le moyen par lequel les diverses composantes de la société peuvent confronter leurs points de vue et réaliser un consensus autour de la vérité concernant des valeurs ou des fins particulières. Il est de la nature des religions librement pratiquées de pouvoir mener de manière autonome un dialogue de la pensée et de la vie. Si, à ce niveau là aussi, la sphère religieuse est séparée de l'action politique, il en ressort également de grands bénéfices pour les personnes individuelles et pour les communautés. D'autre part, les Nations unies peuvent compter sur les fruits du dialogue entre les religions et tirer des bénéfices de la volonté des croyants de mettre leur expérience au service du bien commun. Leur tâche est de proposer une vision de la foi non pas en termes d'intolérance, de discrimination ou de conflit, mais en terme de respect absolu de la vérité, de la coexistence, des droits et de la réconciliation.
Les droits de l'homme doivent évidemment inclure le droit à la liberté religieuse, comprise comme l'expression d'une dimension à la fois individuelle et communautaire, perspective qui fait ressortir l'unité de la personne tout en distinguant clairement entre la dimension du citoyen et celle du croyant. Au cours des dernières années, l'action des Nations unies a permis que le débat public offre des points de vue inspirés par une vision religieuse dans toutes ses dimensions y compris le rite, le culte, l'éducation, la diffusion d'information et la liberté de professer et de choisir sa religion. Il n'est donc pas imaginable que des croyants doivent se priver d'une partie d'eux-mêmes - de leur foi - afin d'être des citoyens actifs. Il ne devrait jamais être nécessaire de nier Dieu pour jouir de ses droits. Il est d'autant plus nécessaire de protéger les droits liés à la religion s'ils sont considérés comme opposés à une idéologie séculière dominante ou à des positions religieuses majoritaires, de nature exclusive. La pleine garantie de la liberté religieuse ne peut pas être limitée au libre exercice du culte, mais doit prendre en considération la dimension publique de la religion et donc la possibilité pour les croyants de participer à la construction de l'ordre social. Ils le font effectivement à l'heure actuelle par exemple à travers leur engagement efficace et généreux dans un vaste réseau d'initiatives qui va des Universités, des Instituts scientifiques et des écoles, jusqu'aux structures qui promeuvent la santé et aux organisations caritatives au service des plus pauvres et des laissés-pour-compte. Refuser de reconnaître l'apport à la société qui s'enracine dans la dimension religieuse et dans la recherche de l'Absolu - qui par nature exprime une communion entre les personnes - reviendrait à privilégier dans les faits une approche individualiste et, ce faisant, à fragmenter l'unité de la personne.

Ma présence au sein de cette Assemblée est le signe de mon estime pour les Nations unies et elle veut aussi manifester le souhait que l'Organisation puisse être toujours davantage un signe d'unité entre les États et un instrument au service de toute la famille humaine. Elle manifeste aussi la volonté de l'Église catholique d'apporter sa contribution aux relations internationales d'une manière qui permette à toute personne et à tout peuple de sentir qu'ils ont leur importance. D'une manière qui est en harmonie avec sa contribution au domaine éthique et moral et à la libre activité de sa foi, l'Église travaille aussi à la réalisation de ces objectifs à travers l'activité internationale du Saint-Siège. Le Saint-Siège a en effet toujours eu sa place dans les assemblées des Nations tout en manifestant son caractère spécifique comme sujet dans le domaine international. Comme les Nations unies l'ont récemment confirmé, le Saint-Siège apporte aussi sa contribution selon les dispositions du droit international, aidant à la définition de ce droit et y recourant.
Les Nations unies demeurent un lieu privilégié où l'Église s'efforce de partager son expérience « en humanité », qui a mûri tout au long des siècles parmi les peuples de toute race et de toute culture, et de la mettre à la disposition de tous les membres de la Communauté internationale. Cette expérience et cette activité, qui visent à obtenir la liberté pour tout croyant, cherchent aussi à assurer une protection plus grande aux droits de la personne. Ces droits trouvent leur fondement et leur forme dans la nature transcendante de la personne, qui permet aux hommes et aux femmes d'avancer sur le chemin de la foi et de la recherche de Dieu dans ce monde. Il faut renforcer la reconnaissance de cette dimension si nous voulons soutenir l'espérance de l'humanité en un monde meilleur et si nous voulons créer les conditions pour la paix, le développement, la coopération et la garantie des droits pour les générations à venir.

Dans ma récente encyclique Spe salvi, je rappelais que « la recherche pénible et toujours nouvelle d'ordonnancements droits pour les choses humaines est le devoir de chaque génération » (n. 25). Pour les chrétiens, cette tâche trouve sa justification dans l'espérance qui jaillit de l'œuvre salvifique de Jésus Christ. C'est pourquoi l'Église est heureuse d'être associée aux activités de cette honorable Organisation qui a la responsabilité de promouvoir la paix et la bonne volonté sur toute la terre. Chers Amis, je vous remercie de m'avoir permis de m'adresser à vous aujourd'hui et je vous promets le soutien de mes prières pour que vous poursuiviez votre noble tâche.
Avant de prendre congé de cette illustre Assemblée, je voudrais adresser mes souhaits dans les langues officielles à toutes les nations qui y sont représentées :

[En anglais; en français; en espagnol; en arabe; en chinois; en russe:]
Paix et prospérité, avec l'aide de Dieu !
Merci !
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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 15:58

13 avril 2008  -  4ème Dimanche de Pâques

 

Le Bon Berger

 

Depuis le premier jour, tous se sont interrogés : Qui est cet homme, Jésus ? Aujourd'hui il nous le dit lui-même : « Je suis le bon berger...».

 Notre époque a connu des « faux bergers », de ceux que le Christ nomme voleurs, rapaces, meurtriers :

Le siècle passé aura « inventé » un führer, un duce, un caudillo, un « petit père des peuples », un « Conducator », pour n'en citer que quelques-uns, qui, au nom de leur idéologie, ont voulu mener des foules, des nations, des races, des classes sociales... et qui les ont conduit à la mort, à des exterminations.

Et tous ces hommes qui, aujourd'hui, au nom de leur idéologie religieuse, veulent séduire les foules... des sectes prolifèrent... Jésus nous dit :

« Faites attention ! Ne soyez pas des « gogos », qui suivent n'importe qui... Vous savez qui je suis : je suis le bon berger ! »

 Ce qui permet de reconnaître le bon berger, c'est qu'il ouvre un chemin de liberté ! Il est une porte ! Une porte qui s'ouvrepour aller et venir, entrer et sortir... qui n'enferme jamais, car c'est une histoire d'amour entre lui et ses brebis.

 Aimer, ce n'est pas s'enfermer dans le regard de l'un sur l'autre, c’est regarder dans la même direction que lui, et inventer chacun sa propre démarche, c’est :

Simplement regarder tous les hommes comme nos frères, et regarder Dieu comme notre Père.

Le bon berger ne nous brimera pas, il ne nous opprimera pas. Il ne violera jamais notre conscience. Il est venu « pour que nous ayons la vie, et la vie en abondance. » Il est passeur de vie !

Ce que veut le bon berger pour ses brebis, toutes ses brebis, celles qui sont dans l'enclos, comme celles qui sont à l'extérieur, c'est la Vie !

Nous en serons témoins par notre liberté de pensée et par notre manière de vivre la fraternité, aujourd'hui comme hier, et demain encore.

 

André SPANG

           

 

 

 


Samedi

12 Avril

SAINTE ANNE à 18h30 : Messe dominicale anticipée [Gilbert LADENER - Lucien PRETEUX]


 

 

ANNONCES DU DIMANCHE 13 AVRIL AU DIMANCHE 20 AVRIL 2008

 

 

Dimanche

13 Avril

 

 

4ème Dimanche de Pâques

 

Journée Mondiale de prière pour les Vocations

KOEKING à 9h15 : Messe dominicale [Famille DUC- CONRADT- STAR - Famille MELIGNER- HAMEN - René KREPPERT - Emile OESTREICHER - Louis et Elisabeth NEYEN - Famille DI RIENZO]

MANOM à 9h15 : Messe dominicale [Famille ZIMMER-LISCH]

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale - [Famille OHRUH- BONATO -

Pierre ROBERT et Bernard CHEDOR - Famille CHARFF - René BLAISE - Odile WEINACHTER de la part des anciennes du pensionnat de Peltre - Famille JUNGES-FISCH]

SAINTE ANNE à 11h45 : Baptême de Pauline LOISANT

NOTRE DAME à 15h30: Baptême de Hélène DESTOMBES

 

 

      Lundi 

14 Avril

 

EPIS D’OR à 17h00 : Messe

SAINTE ANNE à 17h00 : Prière du chapelet à la chapelle

 

 

   Mardi      

15 Avril

NOTRE DAME à 17h40 : Prière du chapelet  

NOTRE DAME à 18h15 : Messe -



  Mercredi 

16 Avril

 

MANOM à 9h30 : Messe - [Famille RETTER- DAPPE- MELLY]

 

 

                                                  

Jeudi

 17 Avril

SAINTE ANNE à 9h00 : Messe à la chapelle

 

 

 

Vendredi

18 Avril

 

GARCHE à 9h00 : Messe                                                                  

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - [Ada ZEFFINO et René MULLER–  Jean-Baptiste LACONCA messe de trentaine]

SAINTE ANNE à 17h00: Répétition des chorales de Garche et de Sainte Anne, salle St Vincent.

SAINTE ANNE à 20h00: Rencontre Partage Vie Ouvrière, salle Jean XXIII



Samedi

19 Avril

St Léon IX

SAINTE ANNE à 18h30 : Messe dominicale anticipée -

[Intention particulière]



 

 

Dimanche

20 Avril

 

5ème Dimanche de Pâques

GARCHE à 9h15 : Messe dominicale-[Alice et Jean GUERIGEN et Charles ROTH– Familles HAUX et THINUS – Aline, Etienne et Lucien SIRET]

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale - [Gisèle et Patrice VARNIER -

Jean MORISE et Hélène PELTIER - Gérard LECLERC et Christine NICOLAY-Marguerite et Maurice LANDRY]

NOTRE DAME à 11h30: Baptême de  Anna BEHM

 


 

 

Nous avons accompagné dans la paix de Dieu :

à NOTRE DAME : Aimé GUILLAUME et Lucie MAIRE

 

 

 

http://saintefamille.over-blog.org .

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INVITATION de la part d’Albert BLUM

 

Envisagé en 2006, programmé au début de 2007, mon pèlerinage « Sur les pas de saint Paul » s’est déroulé du 18 au 31 octobre 2007.

Cette croisière, un rêve de longue date, je  vous dois à vous d’avoir pu la vivre. Ainsi que cela avait été convenu  avec Monsieur COLLIER lors de ma dernière messe, je vous propose une soirée de rencontre au cours de laquelle vous sera projeté un DVD qui retrace les étapes importantes de mon pèlerinage. Cette soirée aura lieu le jeudi 17 avril à 20 h00 à la Salle Notre Dame à Thionville.

Je me réjouis déjà de pouvoir partager ce moment avec toutes celles et tous ceux qui le souhaitent et avec qui j’ai cheminé pendant douze ans de ma vie de prêtre.

 

Albert BLUM, 4 Rue de l’Usine 57360 AMNEVILLE- LES- TERMES 03 87 71 23 52

 

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Compte rendu de l’Assemblée Paroissiale

de Sainte Anne le 9 avril 2008

 

L’équipe d’animation de la communauté (EAC) et une vingtaine de personnes engagées sur la paroisse Ste Anne se sont rencontrées mercredi dernier de 16 h à 19 h.

Après une collation conviviale, chacun s’est présenté et a parlé de la place qu’il occupe dans la vie de la communauté.

Puis, nous avons débattu sur 2 points essentiels :

Quelle Eglise voulons-nous ?

Comment la paroisse Ste Anne se sent-elle membre de la communauté de paroisses ?

 

Quelle Eglise veut-on construire ?

A partir des expériences, du vécu, des implications de chacun dans la vie de la paroisse, nous avons réparti les différentes réponses en 3 grands pôles :

 

L’annonce de l’Evangile : tous les mouvements (ACE, Foi et Lumière, ACI, Partage et Rencontre …), les situations familiales ( les discussions parfois délicates sur notre foi avec les enfants et petits enfants non pratiquants), le désir de voir plus de jeunes à l’église, le rôle fondamental mais difficile des catéchistes,… montrent que chacun à sa manière, se sent responsable de l’annonce de l’Evangile;

 

L’investissement des laïcs dans les célébrations au travers de la chorale, l’organiste, le fleurissement, l’équipe liturgique, l’accueil, … montrent que le souci d’assurer de belles célébrations est constant ;

                                                                                                 

Le service auprès  des pauvres, des malades, des exclus est aussi un élément fondamental du témoignage chrétien.

 

Ces échanges, d’une grande richesse, attestent que ces trois missions de l’Eglise, rappelées dans le Projet Pastoral Diocésain promulgué par notre évêque en l’an 2000,  sont prises en compte : Annonce de l’Evangile, Célébration du salut et  Service de la vie des hommes.  L’EAC  est responsable et garante de la réalisation de ces trois missions sur la communauté de paroisses.

 

Comment exister, en tant que paroisse,

au sein de la Communauté de Paroisses de la Sainte Famille ?

 

Depuis quelque temps tout un dynamisme se vit en communauté de paroisses : une équipe s’est constituée pour accueillir chaque mois les parents qui demandent le baptême pour leur enfant. La préparation au mariage se fait en archiprêtré. Une équipe de Service Evangélique de Malades (SEM) se met en place accompagnée par la responsable diocésaine. Les membres de l’équipe d’accompagnement des familles en deuil se soutiennent mutuellement pour  préparer les funérailles. Nous avons des projets pour contacter les jeunes couples qui se sont  mariés  ou qui ont fait baptiser un enfant récemment. Nous sentons une véritable recherche chez ces couples.

 

Pour continuer de construire ensemble cette Communauté de Paroisses,

voici deux propositions :

Un projet diocésain de lecture de l’Evangile de Marc

 Dès septembre 2008 par équipes de 8/10 personnes.

 Nous recherchons des responsables de groupes.

 Une réunion d’information est prévue pour eux le samedi 14 juin  à Ste Anne.

Fabrication d’une grande fresque en patchwork.

 Chacun est invité à confectionner un carré de tissu de 15cmx15cm qu’il décorera à sa manière  (peinture, broderie, feutres…) pour exprimer ce que représente l’Eglise pour lui, ou son engagement au service de l’Eglise et du monde par un mot, un dessin, une phrase. Cette fresque sera présentée lors d’un événement communautaire en septembre 2008.

 

A l’issue de cette rencontre, nous étions tous convaincus que vivre en Eglise c’était être plus accueillants, plus communicants, voire même audacieux. Et que l’ Evangile est à la source de toute action ou parole.

 

Les prochaines Assemblées Paroissiales auront lieu :

Pour les paroisses de Garche et Koeking, le dimanche 4 Mai en commençant par la messe à 9h15 à l’église Saint Nicolas de Garche.

La rencontre durera jusqu’à midi et nous partagerons le verre de l’amitié.

Pour la paroisse Notre-Dame de Thionville le mardi 6 Mai à 20h00 à l’Eglise.

 

 

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5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 00:35

           Des cœurs brûlants

 

Quand ils s’étaient mis à la suite de Jésus, Cléophas et son compagnon, leur vie était devenue lumineuse. Jésus, le Messie, les menait à la gloire. Le Règne de Dieu, enfin ! Heureux les pauvres avait-il proclamé ! Comme ils avaient bien fait de le suivre…

Mais depuis quelques jours, la vie avait perdu son bon goût d’espérance. Avec la mort de Jésus la nuit s’était installée, le silence, le froid. Oui, ils avaient froid sur la route, rentrant chez eux. Le feu qu’Il avait allumé en eux s’était éteint… à jamais. Quelle serait leur vie désormais ? leur foi ? leur prière ?

Tout cela ils le racontent à l’inconnu qui les a rejoints. Manifestement un homme qui sait écouter, accueillir leur désarroi. Un croyant : il connaît Dieu par cœur et sa Bible sur le bout des doigts. Jamais ils n’ont senti ces textes si actuels, si proches. C’est comme si Dieu lui-même leur parlait. La vieille histoire devenait leur histoire, ses exils, ses exodes. Dieu ? A fond, ils ne le connaissaient pas…

Au fil de l’écoute, leur intelligence s’ouvre Jésus les enseigne, leur fait relire son histoire. La véritable histoire, pas celle de leurs ambitions étriquées ou de leurs rêves de grandeur, non, celle du Serviteur qui partage sa parole et son pain, celle d’un Royaume de paix et d’humilité.

Sur le chemin d’Emmaüs, Dieu lui-même nourrit ses disciples de sa Parole. Elle les fait passer de la mort à la vie. Elle les crée, les engendre à la vie authentique.

Sur nos chemins d’Emmaüs, quand nos cœurs sont tièdes, ou pire froids, quand la Bible semble un pensum et la vie chrétienne un carcan, Jésus, en compagnon, s’offre à ouvrir le livre les Ecritures avec nous. Faisons-le, sans peur. Dieu seul sait parler de Dieu. Laissons-lui la Parole. Elle rendra nos cœurs brûlants.

 

                                                             Jean GANTZER      

 

 

 


Samedi    

5 Avril

SAINTE ANNE à 18h30 : Messe dominicale anticipée avec les enfants de la première communion

MANOM à 16h00 : Baptême de Raphaël BRUNI

 


ANNONCES DU DIMANCHE 6 AVRIL AU DIMANCHE 13 AVRIL 2008


 

 

 

 

 

 

 

 

Dimanche

6 Avril

 

 

3ème Dimanche de Pâques

GARCHE à 9h15 : Messe dominicale - [ Mathilde TERVER (trentaine) -

Famille FOUGEROUSSE-TERVER et Camille MICHEL (anniversaire) -

Mario RONCALLI (anniversaire) ]

SAINTE ANNE à 10h30 : Confirmation des jeunes de Notre-Dame de la Providence

MANOM à 10h30 : Messe dominicale des familles - [Bernard MARION]

Avec accueil des petits de 2 ans 1/2 à 7 ans pour un éveil à la foi et baptêmes de  Marie-Caroline BAZIADOLY, Pauline DE PAOLA, Julie FROISSART,

Florent KIRCHE, Alexandre PETRY et Salomé-Nafissatou SY

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale - [Hugo KAUFFMANN -

Famille VATRY - Famille MARUCCI - Louis ZENDRON et Elise HOFERER - Albert URY (anniversaire), abbé Alphonse KREMER et leur famille -

Antoine KEILEN]

La quête de ce jour est destinée à régler les frais de chauffage de notre église.


 

 

 

Lundi

7 Avril

 

 

St Jean-Baptiste de la Salle

NOTRE DAME à14h00 : Salle 9, formation de secteurs pour les catéchistes et les intervenants en enseignement religieux

EPIS D’OR à 17h00 : Messe

SAINTE ANNE à 17h00 : Prière du chapelet à la chapelle


 

 

 

 

Mardi      

8 Avril

NOTRE DAME à 15h00 : Enterrement d’Aimé   GUILLAUMé

                      16h00 : Enterrement d’Alice MAIRE

NOTRE DAME à 15h30 : Au presbytère, rencontre du M.C.R.

NOTRE DAME à 17h40 : Prière du chapelet  

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - [ Défunts du M.C.R.]

SAINTE ANNE à 20h : Salle Jean XXIII, réunion des parents de la première communion

 

 

 

 

  Mercredi

9 Avril

 

 

MANOM à 9h30 : Messe                                                     

SAINTE ANNE à 16h00 : Assemblée Paroissiale avec l’EAC, Salle Jean XXIII

NOTRE DAME à 20h15: A la chapelle, Exercices Ignatiens « Prière et Vie »


 

 

Jeudi

10 Avril

SAINTE ANNE à 9h00 : Messe à la chapelle

NOTRE DAME de 20h00 à 22h00 : Au presbytère, réunion de préparation au baptême



 

Vendredi

11 Avril

 

St Stanislas

GARCHE à 9h00 : Messe                                                                  

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - [Roger LUDEMANN et sa famille]

 

Samedi

12 Avril

SAINTE ANNE à 18h30 : Messe dominicale anticipée [Gilbert LADENER - Lucien PRETEUX]

 



Dimanche

13 Avril

 

 

4ème Dimanche

de Pâques

 

Journée Mondiale

de prière pour les

Vocations

 

KOEKING à 9h15 : Messe dominicale - [Famille DUC-CONRADT-STAR -

Famille MELIGNER-HAMEN - René KREPPERT - Emile OESTREICHER -

Louis et Elisabeth NEYEN - Famille DI RIENZO]

MANOM à 9h15 : Messe dominicale [Famille ZIMMER-LISCH]

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale - [Famille OHRUH-BONATO-

Pierre ROBERT et son neveux Bernard CHEDOR - Famille CHARFF -

René BLAISE - Odile WEINACHTER de la part des anciennes du pensionnat de Peltre - Famille JUNGES-FISCH]

SAINTE ANNE à 11h45 : Baptême de Pauline LOISANT

NOTRE DAME à 15h30: Baptême de Hélène DESTOMBES



Nous avons accompagné dans la paix de Dieu :

à NOTRE DAME : Monsieur Guy BOURGEOIS

 

 


- http://saintefamille.over-blog.org .

Vous pouvez vous inscrire à la Newsletter et faire connaître ce blog. Merci .

 

- Pèlerinage à Notre-Dame du Luxembourg, Consolatrice des Affligés :

Lundi 14 avril 2008. Inscription aux permanences.

 

- Conférence chrétienne : « Je dors ici - Je travaille là-bas : réalités transfrontalières » Jeudi 10 avril à 20h30, salle des Capitulaires du Beffroi. Animée par MR Jos FREYLINGER, responsable du Centre Pastoral en Monde du Travail de l’Archevêché du Luxembourg.

Immigrés et frontaliers souffrent des conditions de vie dictées  par leur travail. Comment vivre cette vie interculturelle entre deux mondes souvent très éloignés l’un de l’autre ? Quelles perspectives d’un vivre ensemble dans une Grande Région multilingue ? Entrée libre.

 

- Nouvelles des Assemblées Paroissiales : 

      La première assemblée paroissiale a eu lieu à Manom dimanche dernier le 30 mars. La prochaine aura lieu mercredi 9 avril à 16h00 à Thionville, Côte des Roses, à la salle Jean XXIII sous l’église Sainte Anne. Pour les paroisses de Garche et Koeking le dimanche 4 Mai et pour la paroisse Notre-Dame de Thionville, mardi 6 Mai.

      A Manom nous avons commencé par la messe. Les textes correspondaient bien à notre rassemblement. En particulier le texte des Actes des Apôtres (2, 42) qui  rappelait l’idéal de vie des premières communautés chrétiennes : « Ils étaient fidèles à écouter l'enseignement des Apôtres et à vivre en communion fraternelle, à rompre le pain et à participer aux prières ».       

      A Manom les différents services qui permettent une liturgie de qualité sont bien pris en compte. Après le départ, pour raison de santé de Bernadette MANGIN fidèle sacristine, différentes personnes se sont mises en route pour assurer ce service de la liturgie. Le conseil de Fabrique assure une bonne gestion, et les permanences sont fidèlement tenues. Tout un  travail se fait avec les enfants. Ce dimanche six enfants de la communion seront baptisés dont 3 de Manom et les tout-petits participent à un éveil à la foi aux messes des familles.  Nous constatons que c’est en communauté de paroisses et même en archiprêtré qu’un certain nombre de services sont pris en compte.

       Cependant des questions demeurent : comment communiquer d’une façon plus efficace ? Quel relais pour l’information ?

Pour une prochaine rencontre : ne pourrait-on pas organiser un repas convivial ?

       Avec l’EAC nous essayons de constituer une liste des personnes qui participent à la vie de l’Eglise d’une façon ou d’une autre. Merci aux responsables des différents groupes ou services de nous communiquer leur liste de la manière suivante : Dans un tableau format paysage ou sur excel pour ceux qui ont ce qu'il faut ! Manuscrit c'est bon aussi !




 

NOM

PRENOM

ADRESSE

CP et VILLE

TEL/FAX

EMAIL

Responsabilités

 

               Ce samedi une équipe de 10 personnes a nettoyé presbytère, Eglise et Sacristie. Bravo et merci

            Nous faisons appel à des bonnes volontés pour samedi prochain (12 avril 8h30), car cette semaine les travaux commencés vendredi, se poursuivrons pour l'installation d'un accès pour handicapés à l'arrière de l'Eglise côté presbytère.



-'' Cours de Français Langue Etrangère'':

Des cours de Français Langue Etrangère (FLE) seront dispensés par des bénévoles de la paroisse au presbytère Notre Dame de Thionville à partir de vendredi 11 avril. Il ne s’agit pas de cours d’alphabétisation parce que ces personnes savent déjà lire et écrire dans leur langue maternelle et connaissent souvent une ou plusieurs autres langues.

A qui s’adresse ces cours? Aux personnes demandeurs d’asile qui sont logées en hôtel à Thionville par le 115(SAMU Social). L’apprentissage de la langue française n’est pas facile mais ils sont animés d’une grande volonté. La maitrise du français est un facteur d’intégration dans notre société bien sûr, et il leur permet surtout d’apprendre à communiquer avec, par exemple,  les enseignants de leurs enfants, de s’orienter dans la ville, de  pouvoir s’exprimer avec des agents préfectoraux, employés de la poste, médecins, commerçants…

Au-delà de l’apprentissage de la langue elle-même, ces cours leur permettent de se sentir accueillis et reconnus, et de ne plus être qu’un numéro sur une liste ou numéro de chambre d’hôtel. Nous essayons de leur redonner une dignité.

‘’J’étais un étranger et vous  m’avez accueilli’’ 

    A ces cours nous rencontrons des personnes en grande souffrance  parce qu’angoissées en permanence dans l’attente de papiers. Ces gens ont tout quitté (terre, famille, racines...) victimes de persécutions et  de violences dans leur pays, pour essayer de trouver la paix et se reconstruire en France avec leurs enfants.

Nous faisons la découverte de leur culture, eux de la nôtre et grâce à ces cours se construisent des ponts fraternels.  Si parmi vous des retraités ou personnes disponibles ont envie de faire cours ils seront les bienvenus. De même les personnes qui souhaitent participer à nos rencontres fraternelles, elles ont lieu les mardis de 14h00 à 16h00 hors vacances scolaires au presbytère Notre Dame.

Contact: Patricia AUGER (membre du service diocésain de  la Pastorale des Migrants)

Téléphoner au presbytère Notre Dame ou par Email : patricia-auger@orange.fr

    SVP: Nous avons besoin d’urgence d’une poussette et de vêtements d’enfants et bébés. Merci

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 14:48

 



La Conférence des évêques de France tiendra son Assemblée plénière de printemps du mardi 1er au vendredi 4 avril 2008 à Lourdes (Hautes-Pyrénées). Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France, ouvrira et présidera les débats. Cette session, qui se tiendra à huis-clos, rassemblera plus d’une centaine d’évêques.

 

 

L’Assemblée travaillera en particulier sur la mission des évêques à l’égard de la Parole de Dieu. Leur réflexion s’appuiera sur les expériences diocésaines de lecture personnelle et en Eglise de la Parole de Dieu et se fera en lien avec le synode des évêques prévu sur ce thème à Rome en octobre prochain.

 

Le groupe de travail sur la bioéthique, présidé par Mgr Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, rendra compte de ses premiers travaux et auditions. Les évêques réfléchiront à la manière de se situer dans les débats à venir sur ce sujet.

 

 

Mgr Vingt-Trois: ouverture de l'assemblée plénière des évêques à Lourdes

OUVERTURE DE L'ASSEMBLÉE PLÉNIÈRE
DE LA CONFERENCE DES EVEQUES DE FRANCE,
mardi 1 er avril 2008.

 

Chers amis,

La coutume n'est pas d'ouvrir cette session de printemps par un discours. Mais les circonstances présentes et les événements récents ont conduit le Conseil Permanent à penser qu'il serait bon de commencer ce temps d'échange par quelques réflexions du président.


1. Avec les prêtres de nos diocèses.

Notre assemblée se réunit quelques jours à peine après les célébrations de la fête de la Pâque que nous avons tous vécues avec grande joie. Dans nos diocèses, ces fêtes pascales sont le sommet de notre année liturgique et aussi un grand moment d'espérance. En effet, elles sont le temps où les nouveaux chrétiens adultes et jeunes, de plus en plus nombreux, reçoivent les sacrements de l'initiation, promesse de l'avenir de notre Église. Elles sont aussi un temps fort de la communion diocésaine vécue dans la célébration de la Messe Chrismale. Celle-ci nous réunit, prêtres, diacres, religieux, religieuses et laïcs, dans une même communion à l'entrée du Triduum Pascal. Elle manifeste solennellement la dimension diocésaine de tous les sacrements et fait apparaître sacramentellement la communion du presbyterium autour de l'évêque exprimée par le renouvellement des promesses de l'ordination sacerdotale.

En notre nom à tous, je voudrais exprimer aux prêtres de nos diocèses, notre joie de ces moments vécus ensemble, notre confiance et notre affection. Elles vont à tous les prêtres qui sont associés jour après jour à notre ministère et particulièrement aux prêtres diocésains qui sont nos collaborateurs les plus proches et les plus fidèlement attachés à nos diocèses. Nous savons tous combien leur tâche est lourde. Mais, plus que la lassitude quotidienne qui ne nous effraie pas, ce qui pèse le plus lourd, c'est le sentiment, plus ou moins fort, d'être entraînés comme dans un tourbillon dont ni le sens ni le but ne nous sont toujours clairs et de ne pas voir encore se lever la génération de nos successeurs.

Sans doute cette incertitude est-elle l'épreuve qui nous est donnée à vivre en ce temps. Nous voulons la vivre dans la confiance et l'espérance, mais la confiance et l'espérance ont aussi besoin d'être éclairées et soutenues. En ces décennies notre Église vit une profonde mutation liée aussi bien aux évolutions sociologiques de nos départements qu'aux ébranlements des transmissions culturelles. Beaucoup des membres de notre Église n'y sont pas préparés, - est-on jamais préparé aux nouveautés de la vie ? - ; ils en souffrent en voyant que l'Église ne répond pas directement à leurs demandes et à leurs attentes. Ils ont parfois la tentation d'accuser les prêtres d'être responsables de la situation. Certains groupuscules font leur publicité en accusant tout simplement l'Église elle-même à travers ses évêques soupçonnés et brocardés.

Comment pouvons-nous vivre sainement, - et même saintement -, cette fracture ou ces malaises ? Certes, on peut céder à la tentation bien française du miracle de la réforme institutionnelle. Les réformes sont nécessaires et, quand elles sont menées avec le travail nécessaire de consultation, elles peuvent porter du fruit. Mais elles ne font pas tout. Aucun évêque, ni même la conférence des évêques tout entière, n'est capable de trouver la formule miracle qui aplanirait toutes les difficultés, sauf à vivre dans l'illusion organisationnelle ! Jamais le Christ n'a donné un schéma directeur de l'Église ou du ministère « clefs en main ». Il n'y a pas de kit disponible.

Si nous voulons vraiment avancer dans notre tâche missionnaire et ajuster nos pratiques à nos possibilités et aux appels de la mission, la seule voie qui nous est ouverte est celle du travail commun avec les membres de nos communautés et celle de la communion du presbyterium autour de son évêque. Cet engagement modeste à mettre en œuvre les réformes nécessaires, a été fructueux dans bien des diocèses au cours des années passées. Il suppose aussi que nous, évêques, et les prêtres de nos diocèses, soyons assez disponibles pour ne pas vouloir relancer la dynamique missionnaire en maintenant à tout prix ce qu'était l'organisation du XIXe siècle, ni même celle des années 1950.

Dans cet effort, les prêtres des paroisses sont ceux sur qui pèsent le plus le poids de la transition. Nous savons qu'ils ont la détermination et la force pour avancer « en eaux profondes » avec foi. Nous leur disons à nouveau notre confiance et nous voulons avec eux proclamer notre espérance. Certes, ils ne peuvent pas, à eux seuls, définir les conditions fondamentales du discernement nécessaire. Nous ne le pouvons pas davantage. Tous, nous recevons les critères du ministère ordonné de la Tradition de notre Église, en particulier des décrets du Concile Vatican II sur le ministère et la vie des prêtres et de leur relecture par le Magistère ordinaire, notamment dans les sessions du synode des évêques et l'exhortation apostolique Pastores dabo vobis. Consacrés pour enseigner, sanctifier et gouverner le Peuple de Dieu avec les évêques, les prêtres ont une boussole pour discerner avec leur évêque les terrains prioritaires de leur engagement dans le service de l'Église. Pour notre part, nous sommes engagés à favoriser et à développer ce discernement dans chacun de nos diocèses.

La tâche est considérable et nous voyons combien nous manquons de moyens pour la mener à bien. Nous devons donc sans cesse reprendre une dynamique de l'appel. Cette dynamique peut être et doit être soutenue par les services diocésains, mais elle repose avant tout sur la détermination de chaque prêtre de nos diocèses et sur leur détermination à tous à y associer les laïcs. Nous ne pouvons pas abandonner à des groupes particuliers le privilège de se présenter comme les seuls légitimes à envisager l'avenir et à le préparer ! Le travail de fond que nous avons entrepris au sujet de la formation des prêtres signifie bien que nous ne prenons pas notre parti de la situation présente. Nous devons intensifier notre prière en ce prochain dimanche du Bon Pasteur.

Nous voudrions partager avec nos prêtres la confiance qui nous habite, notre joie d'être embarqués avec Jésus sur la barque apostolique et notre espérance qu'il nous conduit bien au port. L'enjeu de notre navigation ne concerne pas seulement les difficultés quotidiennes que nous rencontrons. Il concerne tous les hommes de notre temps et l'actualité nous donne malheureusement bien des occasions de le vérifier.

2. Une société pour la vie.

Une récente campagne a été orchestrée, une nouvelle fois, à partir du drame personnel d'une personne gravement malade pour faire passer dans l'opinion le sentiment qu'il y aurait urgence à délivrer légalement un permis de disposer de sa vie. En réalité, il s'agirait d'un nouveau permis de disposer de la vie de son prochain, disons-le simplement : d'un permis de tuer. Alors que nous ignorions tout de la situation médicale réelle de la personne, des traitements possibles, des traitements proposés, acceptés ou refusés, on a voulu capter l'émotion légitime pour la substituer à la réflexion ; on a fait monter les enchères émotionnelles ; on a instrumentalisé une situation douloureuse pour la cause. On parle beaucoup de dignité ! Nous n'avons certainement pas la même conception ni la même pratique de ce mot.

Sournoisement, le travail admirable des équipes de soins palliatifs a été discrédité et dévalué aux yeux de l'opinion. Honteusement, des milliers de personnes gravement atteintes ou dans le dernier âge de leur vie ont été soupçonnées de ne pas avoir le courage de la « dignité ». Frauduleusement, la requête de reporter la décision de sa mort sur la société a été présentée comme un progrès humain. La loi, votée il y a deux ans et pas encore vraiment appliquée, a été occultée. La passion pour la mort a remplacé la compassion pour la vie.

Plusieurs d'entre nous se sont exprimés justement et sobrement sans faire le jeu médiatique de cette vente aux enchères de la dignité. Aujourd'hui, nous voulons dire ensemble notre conviction que la société n'a pas vocation à organiser la mort, la mort de personne : ni celle de l'enfant à naître, ni celle du grand malade en phase terminale, ni celle des vieillards en fin de vie. Si elle le faisait, elle saperait les fondements mêmes de son existence. Elle deviendrait un lieu du doute : veut-on encore de moi ?

Comme évêques mais tout simplement comme êtres humains, nous voulons rappeler que la dignité humaine n'est pas de chercher dans la mort la solution aux situations graves et angoissantes auxquelles tous les hommes sont confrontés un jour ou l'autre. Nous voulons dire encore une fois notre estime et notre admiration pour les hommes et les femmes qui assument leur vie avec courage et discrétion, pour les médecins qui cherchent sans cesse à soulager la souffrance, pour les équipes soignantes qui respectent, elles, la dignité de leurs malades, pour les familles qui accompagnent courageusement leurs membres éprouvés. Surtout, nous voulons exprimer notre résolution d'agir conformément à ces convictions en soutenant tous ceux qui se mettent vraiment au service de la vie. Nous le faisons particulièrement en n'abandonnant pas les malades graves à leur détresse et à leur souffrance. Nous voulons encourager le travail des aumôneries d'hôpitaux et de maisons de retraite. Nous voulons appeler les fidèles laïcs ou consacrés à se proposer pour des services de visite et d'accompagnement auprès des personnes malades ou des personnes âgées, en particulier celles qui sont en grande souffrance physique ou psychologique.

La dignité humaine est vraiment à promouvoir, mais cette promotion ne peut pas passer par le déni de la valeur de chaque existence humaine quels que soient ses handicaps ! Une société pour la vie est une société qui aide ses membres à vivre jusqu'au bout leur vie, qui ne les fait pas douter de la valeur de leur présence ici-bas.

3. Une Europe ouverte.

Le 1er juillet prochain, la France va prendre pour six mois la présidence de l'Union Européenne. Les récentes élections municipales et cantonales ont occupé le devant de la scène médiatique. En sera-t-il de même de cet événement qui surgira à la veille des vacances au cours desquelles se déroulera presque un trimestre de ce semestre de présidence française ? En tout cas, ce temps de la présidence française doit nous inciter à réfléchir sur notre implication dans l'ensemble européen et sur les accents qui marqueront le deuxième semestre de 2008, année européenne du dialogue inter culturel.

Les fruits de la construction européenne sont considérables et inestimables : ils portent le nom de la Paix. Mais ils sont aussi fragiles. Cette petite portion du globe terrestre a accumulé au cours des siècles une capacité de développement et de gouvernement sans doute exceptionnelle. Il nous suffit de porter notre regard sur le monde pour en être convaincus :

• la Colombie et les otages retenus, dont notre compatriote Ingrid Bettancourt. Permettez-moi d'exprimer notre reconnaissance et nos encouragements fraternels à Mgr Castro Quiroga, président de la Conférence épiscopale de Colombie, pour l'action persévérante de l'Église dans cette longue crise.
Le Tibet et les représailles qui s'y déroulent.
La Birmanie dont on ne parle plus guère.
Le Darfour et le Soudan.
• Le Moyen-Orient : Liban, Israël et les Palestiniens, avec une attention particulière pour nos frères chaldéens d'Irak. Les communautés chaldéennes en France doivent pouvoir compter sur notre soutien pour accueillir ceux qui viendront se réfugier.
• L'Algérie et les mesures contre l'exercice des religions chrétiennes. Même si les circonstances ne permettent pas d'expressions publiques très spectaculaires de notre part, nos frères savent que nous sommes à leurs côtés dans leur volonté de vivre en Algérie, aux côtés des Algériens et en paix avec eux.


De tout cela, notre vieille Europe est préservée, même si les progrès vers l'union sont venus conclure des phases sanglantes et démentielles. Ils ont été incontestables et ont été produits par l'implication de grands hommes d'État comme Konrad Adenauer, Alcide de Gasperi et Robert Schumann, pour ne citer que les plus connus. Aucun des trois ne faisait mystère de sa motivation chrétienne dans son engagement apparemment utopique. A la même époque, une autre Europe se construisait au-delà de la ligne Oder-Neisse. Nous en connaissons les fruits amers.

Avec son élargissement, notre Europe se trouve confrontée à une question d'objectif que l'entrée des pays de l'ancienne domination soviétique a déjà posée. Jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour l'établissement et l'affermissement de la paix ? Jusqu'où sommes-nous prêts à aller dans le partage de la prospérité ? Déjà, dans nos pays très développés de l'Ouest européen, la question de l'accueil des migrants est récurrente. Voulons-nous une Europe ouverte ou une Europe close devant les risques de perdre notre sécurité économique, dont la fragilité financière provoque les soubresauts que l'on sait ? L'histoire a montré qu'il n'est pas de clôture qui résiste aux besoins élémentaires qui s'expriment au dehors. La seule voie qui nous paraît raisonnable est évidemment celle du développement qui donne de quoi vivre dans les pays de forte immigration. Mais cette politique coûte très cher en argent et en vigilance sur l'utilisation des aides. Quel pourcentage de notre richesse nationale sommes-nous prêts à y investir, non seulement en « promesses de dons » mais en financement réel ?

La France, pays de migrations anciennes, qui s'enorgueillit d'être le « pays des droits de l'homme » va-t-elle aider l'Europe à progresser dans une politique d'ouverture devant les migrations ? Va-t-elle elle-même progresser dans la mise en œuvre d'une politique d'aide au développement ? Va-t-elle progresser dans les procédures de traitement des demandes d'asile, dans leur durée comme dans les critères mis en œuvre et la manière de traiter les demandeurs ? Une politique raisonnée de l'immigration est indissociable des moyens à dégager pour que les fonctionnaires chargés de son exécution ne soient pas submergés et ne se trouvent pas dépassés par les situations qu'ils ont à traiter. Enfin, par delà la réglementation nécessaire, la manière de traiter des personnes en détresse suppose un engagement déterminé dans l'application des lois et des jugements. Une personne qui ne réunit pas les conditions d'accueil sur notre territoire ne cesse pas pour autant d'être une personne humaine, un homme, une femme, un enfant, que l'on doit respecter et traiter avec dignité. Une personne ne peut pas être détenue dans des conditions inhumaines.

L'Église se félicite que de nombreux catholiques soient engagés sur ce front de la solidarité. Elle encourage les fonctionnaires et membres des forces de l'ordre qui exécutent leur mission en respectant les personnes concernées. Elle appelle les communautés locales à réfléchir et à agir pour venir en aide à ceux qui ont mis leur espoir, leur ultime espoir, dans le risque de l'immigration. Elle soutient les femmes et les hommes politiques dans leur implication pour cette cause, même si elle n'est pas très rentable électoralement.

Si nous pouvons évoquer à juste titre les racines chrétiennes de l'Europe, c'est à nous d'agir de telle façon que ces racines soient manifestes et continuent à porter leurs fruits. C'est seulement à ce prix que nous pourrons redonner à notre jeunesse des raisons d'espérer, de croire en l'avenir et d'échapper aux mirages de la violence et des paradis artificiels que fournissent la drogue et l'alcool. La joie de la Résurrection nous y encourage toujours, nous chrétiens.

Il y aurait encore beaucoup de choses à dire, mais nous devons préserver du temps pour que, vous aussi, vous puissiez parler dans cet échange sur l'actualité.

Je vous remercie.


André Cardinal VINGT-TROIS Archevêque de Paris
Président de la Conférence des évêques de France

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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 14:12

      Pour permettre à chaque paroisse d’être reconnue au sein de la communauté de paroisses de la Sainte Famille. L’Equipe d’Animation de la Communauté de Paroisses   rencontre les paroissiens de Manom ce Dimanche

       Messe à 9H 15 suivie d’un partage pour construire cette Eglise vivante et proche, communicante et appelante, chargée d’annoncer l’Evangile qui fait vivre et de proposer la foi dans la société actuelle comme nous y invite le projet pastoral diocésain.

 

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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 07:19

« Cesse d’être incrédule, sois croyant ! »

 

Comme c'est difficile de croire à l'heure actuelle !

 Avec la sécularisation qui exclut pratiquement Dieu du champ de la vie sociale, avec le développement des sciences biologiques qui consacre l’emprise totalitaire de l'homme sur la vie, nous avons de sérieuses difficultés à croire.

         De fait, l’existence de Dieu échappera toujours à l’expérience scientifique et sensible. On ne mettra jamais Dieu dans une éprouvette pour l’analyser ou sur une table de laboratoire pour le disséquer. Or ce qui n’est pas scientifique dans notre société est a priori douteux. Pourtant la relation d’amitié, l’amour, la joie, l’espérance, la sérénité, le partage, l’angoisse, la souffrance, la paix, la profondeur d’âme, toutes ces réalités intérieures à l’âme humaine, très personnelles, échappent au regard scientifique, et sont pourtant si constitutives de notre existence et de son sens.

         Nous nous retrouvons bien dans la peau de notre cher Thomas, qui préfère se réfugier dans le doute, pente naturelle de l’esprit humain.

         Remarquons d’abord que le doute choisi est moins risqué que la foi-confiance. Il est d’une certaine manière plus confortable. « Si jamais c’est faux, nous aurons l’air moins ridicule. » Le doute évite aussi l’engagement. Il est retranchement dans ses frontières, dans ses positions.

         Mais il est surtout incapacité à aller de l’avant, incapacité choisie à nous ouvrir aux autres, et à cet autre qui est Dieu. En restant en permanence sur le rond point de la vie sans pouvoir prendre un vrai chemin, le doute nous empêche d’atteindre la réalité de l’existence, sa vérité la plus profonde qui se situe toujours au-delà de soi, devant soi.

 

                            Dominique THIRY+

 

 

 

 

Samedi    

29 Mars

SAINTE ANNE à 10h00 : Salle Saint Vincent, rencontre équipe des confirmands

SAINTE ANNE à 18h00 : Messe dominicale anticipée - [Maria ZACCONE - Lucien FELTEN (anniversaire) et Pierre FELTEN ]

NOTRE DAME à 18h00 : Messe des jeunes pour l’Archiprêtré



ANNONCES DU DIMANCHE 30 MARS AU DIMANCHE 6 AVRIL 2008

 


 

Dimanche

30 Mars

 

  2èmeDimanchede Pâques

 

MANOM à 9h15 : Messe dominicale suivie de l’Assemblée Paroissiale  avec l’EAC - [Germaine et Henri KREMER]

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale -[Yvonne BEHM (anniversaire) -Ernestine et Eugène WALDSBURGER - Albert MULLER et sa famille -

Noëlle et Marguerite SCHOLTES - Gaston KIEFER - Famille POMPEI ]


 


 

Lundi 31 Mars

Annonciation du Seigneur

 

 

NOTRE DAME de 14h00 à 16h00 : Salle 9, formation des catéchistes

EPIS D’OR à 17h00 : Messe

SAINTE ANNE à 17h00 : Prière du chapelet à la chapelle

 

 

Mardi      

1er Avril

 

NOTRE DAME à 17h40 : Prière du chapelet  

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - Défunts de nos paroisses

 

 

 

Mercredi

2 Avril

 

St François de Paule

 

MANOM à 9h30 : Messe                                                     

SAINTE ANNE : Répétition des confirmands de Notre-Dame de la Providence

NOTRE DAME et GARCHE : 10h30 : Rencontre enfants de la 1ère communion

SAINTE ANNE à 13h30 : Salle Jean XXIII, réunion des enfants de l’ A.C.E.

NOTRE DAME à 20h15: Au presbytère, préparation du programme de chants

 


Jeudi 3 Avril

 


SAINTE ANNE à 9h00 : Messe à la chapelle

 

 

 


Vendredi

4 Avril

 

 

St Isidore de Séville

 



GARCHE à 9h00 : Messe - Intention particulière               

SAINTE ANNE à 17h00 : Répétition de la chorale

NOTRE DAME à 17h00 : Exposition du Saint Sacrement et confessions

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - [Lucie SCHEUNCHEN -

Marie Germaine et Christian MARCHIORETTI ]

SAINTE ANNE à 20h00 : Réunion du Conseil de Gestion

 

 

 

 



Samedi    

5 Avril

 



MANOM à 8h30 : Nettoyage de l’église

SAINTE ANNE à 18h30 : Messe dominicale anticipée avec les enfants du catéchisme et la communauté

MANOM à 16h00 : Baptême de Raphaël BRUNI

 

 

 

 

 

 

 
Dimanche

6 Avril

 

 

3ème Dimanche de Pâques

 




GARCHE à 9h15 : Messe dominicale - [Mathilde TERVER (trentaine) -

Famille FOUGEROUSSE-TERVER et Camille MICHEL (anniversaire) -

Mario RONCALLI (anniversaire) ]

SAINTE ANNE à 10h30 : Confirmation des enfants de N-D de la Providence

MANOM à 10h30 : Messe dominicale des familles [Bernard MARION]

avec accueil des enfants de 2 ans 1/2 à 7 ans pour un éveil à la foi et baptêmes de :  Marie-Caroline BAZIADOLY, Pauline DE PAOLA, Julie FROISSART, Florent KIRCHE, Alexandre PETRY et Salomé-Nafissatou SY

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale - [Hugo KAUFFMANN -

Albert URY (anniversaire) et abbé Alphonse KREMER et leur famille -

Famille VATRY - Famille MARUCCI - Antoine KEILEN ]

 

 


 


 
 



























































































Nous avons accompagné dans la paix de Dieu:

à NOTRE DAME : Monsieur Jean Baptiste LACONCA


—-————————————-


Attention arnaques !

 

·  Travail Famille Propriété (TPF)

En France la commission d’enquête parlementaire de 1995 a considéré le mouvement comme une secte.

 

·  Association « Mère Teresa pour les enfants »

Avertissement et déclaration officielle :
« En réponse à des interrogations en provenance du monde entier, je déclare que l’organisation connue sous le nom de l’association
Mère Téresa pour les enfants n’est en aucune manière et de quelque façon que ce soit associée aux Missionnaires de la Charité (Sœurs de Mère Téresa de Calcutta). Qui plus est, l’association Mère Téresa pour les enfants n’est pas autorisée à utiliser le nom ou l’image de Mère Téresa ».
         Sœur M. Nirmala MC, supérieure générale des Missionnaires de la Charité

 

Attention:Cette association indienne se revendique aussi de Mgr Pierre RAFFIN

 

———————————————

 Pastorale des Jeunes :

JIT : Messe le samedi 29 mars à 18 h à l’église Notre Dame ; de 19h30 à 22h30, au presbytère St Maximin : repas et Soirée à Thème « Prison ou peine de mort ? »

Groupe Théophile : week-end proposé par le Service Diocésain des Vocations : les samedi 5 et dimanche 6 avril à la Propédeutique de Nancy, sur le thème « Je m’ouvre à l’Eglise … Découvrir la diversité des vocations en Eglise. »

 

Formation en Secteurs : le lundi 7 avril à 14 h au presbytère Notre Dame Thionville.

Formation ouverte à toute personne ouverte à l’annonce de la foi.

 

Pèlerinage à Notre-Dame du Luxembourg, Consolatrice des Affligés : Lundi

14 avril 2008. Inscription aux permanences.

 

Funérailles : La formation « Funérailles » reprendra en septembre 2008. Elle est ouverte à tous ceux qui sont investis dans la pastorale des funérailles.

___________________________

Faire l'Eglise du Christ

 

Nous aimons notre Eglise
avec ses limites et
ses richesses,
c'est notre Mère.
C'est pourquoi nous
la respectons
tout en rêvant qu'elle
soit toujours plus belle.

Une Eglise
où il fait bon vivre,
où l'on peut respirer,
dire ce qu'on pense,
une Eglise de liberté.

Une Eglise
qui écoute avant de parler,
qui accueille avant de juger,
qui pardonne avant de
condamner,
qui annonce plutôt que de
dénoncer,
une Eglise de miséricorde.

Une Eglise
où le plus simple des frères
comprendra ce que l'autre
dira, où le plus savant des
chefs saura qu'il ne sait pas,
où tout le peuple se
manifestera,
Une Eglise de sagesse.

 

Une Eglise
où l'Esprit Saint
pourra s'inviter parce que
tout n'aura pas été prévu,
réglé et décidé d'avance,
une Eglise ouverte.

Une Eglise
où l'audace de faire du neuf
sera plus forte que l'habitude

de faire comme avant.
Une Eglise où chacun
pourra prier dans sa langue,
s'exprimer dans sa culture
et exister avec son histoire.
Une Eglise dont le peuple
dira, non pas :
'' Voyez
comme ils sont organisés '',

mais :
'' Voyez comme
ils s'aiment'
'.

Eglise des villes

et des villages
Tu es encore petite,
mais tu avances.
Tu es encore fragile,
mais tu espères.
Lève la tête et regarde;
Le Seigneur est avec toi !

Monseigneur Guy DEROUBAIX


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27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 11:14
Deux enfants  qui se préparent à la communion à Sainte Anne et leur soeur ont été baptisés à la Vigile Pascale.
vigile-pascale-2008-005.JPGvigile-pascale-2008-004.JPG














     
                                                                                                      
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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 16:57

 

La lettre que le ministre de l'immigra­tion, de l'intégration, de l'identité nationale et du co-développement a adressée aux Evêques de France a suscité étonnement, réactions, silences et aussi des réponses. Des réponses enra­cinées dans la vie des personnes et la responsabilité ecclésiale assumée. Ci-dessous, un extrait, éclairant, de la réponse donnée par Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille

 

     « Face à la mobilisation de l'Eglise, le ministre a écrit aux évêques de France. Je lui ti répondu en lui décrivant ce que je voyais sur Marseille. C'est-à-dire le climat de peur de personnes qui n'ont commis aucun fait délictueux mais qui se savent menacées parce qu'il leur manque un papier.

J'observe la grande souffrance de Marseil­lais qui soutiennent ces sans-papiers et qui assistent à des scènes peu glorieuses pour la France. Je vois aussi les belles réactions de Marseillais qui soutiennent ces gens. Je vois qu'on s'acharne sur des personnes qui vivent ici depuis des années.

Ce n'est pourtant pas à cause d'eux que nous avons le plus de soucis dans ce pays. Alors une politique autre de régularisation n'aurait rien de catastrophique. D'autant que je suis parfaitement d'accord avec le ministre sur le fait que la solution réside dans le co-développement, mais cela ne por­tera pas ses fruits en quelques mois. En attendant que fait-on ? On offre un ticket de retour aux gens qui viennent chez nous ? D'autant qu'ils ne viennent pas de gaieté de cœur, mais chassés par la misère, l'insécurité ou la guerre. »

 

Mgr Pontier, archevêque de

Marseille, lors de la cérémonie des vœux

                                          à propos de la lettre du ministre aux évêques de France

Revue Migrations et Pastorale- n° 333   Mars - Avril 2008 p.29

La revue Migrations et Pastorale est publiée par le Service National de la Pastorale des Migrants, elle veut être au service de l'engagement de l'Eglise avec les Migrants.

 

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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 15:43

Zone de Texte: Communauté de Paroisses

de la Sainte Famille

du pays thionvillois

 

Invitation

Sujet : Assemblées Paroissiales

 

Bonjour

 

           L’Equipe d’Animation de la Communauté de Paroisses de la Sainte Famille du pays thionvillois serait heureuse de rencontrer toutes les personnes soucieuses  du dynamisme de votre  paroisse.

Ces rencontres sont prévues :

Manom :                       30 Mars :  messe à 9h15 suivie de la rencontre sur place

Sainte-Anne :                  9 Avril :  à 16 heures, salle Jean XXIII, sous l’Eglise

Garche et Koeking :   4 Mai   : messe à 9h15 suivie de la rencontre, à l’église Saint        Nicolas de Garche

Notre-Dame :                  6 Mai   :  à 20 heures  à l’église Notre Dame

       Nous sommes invités à construire une Eglise vivante et proche, communicante et appelante, chargée d’annoncer l’Evangile qui fait vivre et de proposer la foi dans la société actuelle.

                                                   Nous vous souhaitons de bonnes Fêtes Pascales,

L' Equipe d’animation de la communauté (EAC)

Marie-jeanne GAILLOT               Tél  03 82 53 22 46     Email    gaillot.g@wanadoo.fr

Simone et Jean-Louis GILLES   Tél   03 82 53 19 42   Email    simone.gillestetard@orange.fr
Francine MAILLOT                      Tél   03 82 34 43 43     Email     fr.maillot@orange.fr

Serge PHILIPPI (prêtre)             Tél/fax 03 82 53 25 81 Email     serge.philippi@orange.fr 

Jean SCHNEIDER                        Tél   03 82 53 52 24     Email    sch.jeannot@aliceadsl.fr  

Chantal SCHUH (animatrice laïque en pastorale)                        

                                                      Tél 03 82 55 12 76       Email     chantal.schuh@wanadoo.fr

André SPANG (prêtre)                Tél/fax 03 82 54 34 67 Email    andre-spang@wanadoo.fr

 

 

Invitation à diffuser sans modération. Merci.

 

Paroisses

Saint Nicolas  de Garche, Saint Rémi de Koeking, Notre Dame de l'Assomption de Manom,

Sainte Anne de Thionville, Notre Dame de l'Assomption de Thionville.

http://saintefamille.over-blog.org

 

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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 15:28

23 mars 2008  -  Dimanche de la Résurrection

 

Lettre au Christ Ressuscité.

     « Tu as de la patience avec moi. J’ai essayé de penser davantage à toi durant ces quelques semaines. Et ces 40 jours ne suffisent pas à chasser toutes les idées de faux Dieu qui ne cessent de se faufiler dans ma tête. Je voudrais que tu interviennes avec force dans la vie des hommes qui souffrent et qui sont victimes de violences. Je voudrais tant ressentir ta présence ! Je me rends compte que seul un compagnonnage avec Toi m’aide à entrer un peu plus dans les vues de Dieu ton Père et Notre Père.

 

     Les signes de ta résurrection sont bien discrets. Ils n’ont pas fait de bruit. Marie-Madeleine, Pierre et Jean n’ont pas vu grand-chose. Ton absence dans le tombeau et les  linges qui t’enveloppaient soigneusement rangés. Ces quelques signes ont suffit à ouvrir leur foi.

     Le souvenir de tout ce qu’ils avaient vécu avec toi leur a fait comprendre qui tu étais. Tellement différent de ce qu’ils imaginaient, de ce que j’imagine, de ce que les hommes de tous les temps imaginent.

Un Dieu discret, un Dieu humble, un Dieu en attente, un Dieu qui souffre de nos souffrances. Un Dieu en attente que nous nous mettions en marche vers lui, de nous reconnaître comme fils bien aimé,  fils d’un même Père qui ne peut que donner son Amour.

     Je découvre que ce  que voient mes yeux est doublé d’un autre regard, celui de la foi, celui de cette expérience de ta présence  qui parle au cœur et invite  à voir l’invisible. Aucune obligation, tout est discrétion, effacement. Et c’est justement là que s’exerce ta  puissance. Ce souvenir d’une vie offerte m’invite à offrir la mienne et à m’écrier avec les femmes venues alors qu’il faisait encore sombre, avec Pierre, Jean et tous les apôtres : «  Il est vivant,  il  est ressuscité ».

     Fais de moi ce témoin émerveillé en Eglise. Et aide-nous à te rendre présent sur tous les lieux de fractures de notre monde. »       

                                                                                   Serge PHILIPPI

 

 


Samedi  Saint  

22 Mars

 

NOTRE DAME de 17h à 18h00 : Confessions individuelles

SAINTE ANNE à 20h30 : Veillée Pascale avec

Garche et Koeking, au cours de laquelle

des enfants seront baptisés

NOTRE DAME à 20h30 : Veillée Pascale

ANNONCES DU DIMANCHE 23 MARS AU DIMANCHE 30 MARS  2008

Pâques   KOEKING à 9h15 :Messe de Pâques

      GARCHE à 10h30 : Messe de Pâques - Famille MOSCHETTA -

     Gérard DUC et famille DUC-HAMEN - Alphonse VEYNACHTER -

     René OESTREICHER

     MANOM à 10h30 : Messe  de Pâque - René et Jérémy SCHWEITZER

     NOTRE DAME à 10h30 : Messe de Pâques -

     Fam. GREFF-KOHN - Marthe et Robert CUISINIER - Famille      HOMBOURGER-GERARD - Hugo KAUFFMANN et sa famille–

Aimé ROUYER et famille DAMIEN

       La quête de ce jour est destinée aux séminaires diocésains

     NOTRE DAME à 11h30 : Baptême de Maël LANGE

 

24 Mars

 

Lundi dans l’Octave de Pâques

NOTRE DAME à 10h00 : Messe

EPIS D’OR à 17h00 : Messe

SAINTE ANNE à 17h00 : Prière du chapelet à la chapelle

 

 

      

25 Mars

Mardi dans l’Octave de Pâques

NOTRE DAME de 14h00 à 16h00 ou de 20 h00 à 22h00 : Salle Notre Dame, rencontre des parents de la première communion de Notre Dame et de Manom

NOTRE DAME à 17h40 : Prière du chapelet  

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - Louis TIBERI

 

 

 

 

26 Mars

Mercredi dans l’Octave de Pâques      

MANOM à 9h30 : Messe

SAINTE ANNE à 10h00 : Salle Jean XXIII, rencontre des enfants de la 1ère communion

GARCHE à 10h30 : Au presbytère, rencontre des enfants de la 1ère communion

SAINTE ANNE à 13h30 : Salle Jean XXIII, réunion des enfants de l’ A.C.E.

NOTRE DAME à 15h00: enterrement de Jean Baptiste LACONCA

27

 

Jeudi dans l’Octave de Pâques

SAINTE ANNE à 9h00 : Messe à la chapelle

 

28

 

Vendredi dans l’Octave de Pâques

GARCHE à 9h00 : Messe - Intention particulière

NOTRE DAME à 18h15 : Messe - Antonio REIS DA COSTA

 

  

29 Mars

Samedi  dans l’Octave de Pâques

SAINTE ANNE de 10h00 à 11h30 : Salle Saint Vincent, rencontre de l’équipe des confirmands de Sainte Anne

SAINTE ANNE à 18h00 : Messe dominicale anticipée - Maria ZACCONE - Lucien FELTEN (anniversaire) - Pierre FELTEN

NOTRE DAME à 18h00 : Messe des jeunes pour l’Archiprêtré

Dimanche

30 Mars

 

 

2èmè Dimanche de Pâques-Octave de Pâques

MANOM à 9h15 : Messe dominicale suivie de l’Assemblée Paroissiale  avec l’EAC (voir page 4) - Germaine et Henri KREMER

NOTRE DAME à 10h30 : Messe dominicale - Famille POMPEI -

Ernestine et Eugène WALDSBURGER - Yvonne BEHM (anniversaire) -

Noëlle et Marguerite SCHOLTES - Gaston KIEFER




 

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